(Un peu de patience pour les photos, elles vont arriver --> message à ne plus lire quand les photos seront en ligne évidemment !)
Aujourd'hui, on laisse les vélos et on prend les scooters. La septième compagnie se met en marche !
Le drame a été évité de justesse en cette matinée de mercredi. Alors que nous partions de bonne heure et de bonne humeur sur nos scooters, arrêt shopping pour acheter des hamacs. En descendant de son scooter, le pauvre Djipi a disparu d'un seul coup dans le trottoir, provoquant un cri de terreur chez la vendeuse. Plus de peur que de mal, il n'a rien ! Ils sont piégeux ces trottoirs. Nous reprenons donc la route.
Rétablissons la vérité (esquissée dans le premier billet), à Bali en vélo on ne dépasse pas les autos mais en scooter à Bali, on dépasse les taxis ! Arrêt déjeuner typique. Une soupe à base de riz, chou, omelette, riz gluant, épices, etc. Ce n'est pas le sandwich libanais, mais le sandwich balinais !
Il manquait toutefois un petit goût sucré pour achever ce déjeuner. Nous stoppons donc dans un endroit qui franchement n'avait rien d'exceptionnel. Jugez vous-mêmes : une terrasse, de la coco fraîche et une petite vue pas terrible sur les rizières en escaliers. La vie est dure non ?
La pause terminée, nous nous dirigeons vers le temple Tirta Empul où se déroule une cérémonie hindouiste. Des couleurs à foison, de la musique, des offrandes, des gens qui viennent se purifier dans les eaux sacrées.
Pour terminer cet après midi bien rempli, pause "culturelle" au musée Neka pour un aperçu de la peinture balinaise. Tellement "passionnés", nous n'avons pas même pensé à prendre des photos pour faire partager cette expérience. De toute façon, elle ne se raconte pas, elle se vit… Vous ne saurez rien du reste de la soirée, tout ce qui se passe le soir à Bali reste à Bali (il vaut mieux pour la réputation de certains…)